Hiérarchie bienveillante, abondance de moyens, excellence professionnelle, certains artistes ont la pêche. C’est ce que révèle une « étude sur le Cirque Electrique » réalisée par une unité de recherche du CNRS de Toulouse.
L’étude pointe des « relations de travail saines » de la base à la direction et au sein des équipes et des services. Les acrobates estiment ne pas être en compétition entre eux (79,9 %) et ne pas avoir de difficultés relationnelles avec les autres services (87,6 %). Par ailleurs, 80 % d’entre eux se disent fiers d’appartenir au Cirque Electrique.
Cette étude révèle également des conditions de travail agréables, 31.7% des artistes sondés ont reçu en moyenne 10 récompenses lors des six derniers mois. Les autres soulignent que leur travail est « équilibrant sur le plan émotionnel, mental et relationnel ».
Toutefois, deux pistes sont évoquées dans l’étude pour améliorer la situation : création d’une Académie de l’Équilibre représentant toutes les disciplines pour évoluer vers un management plus participatif, et enfin possibilité d’augmenter rapidement le taux d’attribution des récompenses.