En permanence, le Bureau des Prévisions mesure le niveau de risque qu’un internaute prend en cliquant sur un mot lors d’une recherche.
« Depuis quelques mois, les cybercriminels profitent de la hausse de la cote de popularité des images de Fredox pour détourner l’attention des amateurs de sensations vers des sites malveillants ».
Le mot Fredox devrait occuper la première place, en 2014, avec un taux de dangerosité de 14,8%.